vendredi 15 juillet 2011

New York New York!

Lorsqu'on commence à voyage, le risque est d'atraper la bougeotte! Surtout lorsqu'on a déjà un back ground d'hyperactif!

a peine rentrer de mon voyage en Utha, me voila de retour à l'aéroport de Columbus, en Compagnie de Fon cette foi. Comme on a pas dormis la nuit précédente (anniversaire à fêter oblige) on ne voit pas beaucoup le vol, et se réveille juste au dessus de la grosse pomme. On essaye de discerner les buldings de manhatan, et atterisson enfin sur une piste-ponton à la pointe de l'isle.

On cherche désespéremment le metro M60 qui s'avère finalement être un bus. le trajet est long jusqu'à notre point d'arrivé, on le suit du doigt sur l'iphon de Fon, croisement par croisement. Les explications de Dreams étaient clairs, et on arrive rapidement à sa résidence universitaire extra sécurisée. Dream et son copain coréen (dont le prénom est irreproductible, nous l'appeleront Jonh) nous accueillent dans le petit studio rempli de cartons : 5ans de vie américaines sont entassés dans la petite pièce, et on a en plus afaire à une grande fan de shopping!

Premier plan, diner dans le quartier coréen. Nous allons dans une immense food court qui combine une multitude de petit resto.

On commande dans différents endroits et se voit décerner chacun une petit boite numérotée qui se met à clignoter et vibroter quand notre repas est prés.

la mienne se réveille bien après celle des autres, oui, mais moi j'ai des petits coeurs en riz dans mon assiette!

Shopping une grande partie de la soirée dans le quartier d'empire state building. puis nous nous dirigeons vers le fameux time square. ça brille et ça grouille de partout. Les deux thaillandaises s'adonne à coeur joie à leur activiter préférer : se prendre en photo partout, avec le V s'il vous plait (je vous prierais d'admirer la professionalité, j'ai réussi à prendre quelques photos de Dream sans qu'elle le fasse = sans qu'elle ne me voit!)


















Je visite mon deuxième magazin M&M's en deux semaines (premier à Vegas). On passe devant un magazin "Shrimp bubba gump", et je me demande encore de qui du resto ou du film à vu le jour en premier.























Le lendemain matin, il pleut. On assortit nos parapluies à nos habits (ya pas de petits détails!) et on s'en va visiter  le Guggenheim Museum. 
















































































































En sortant, il pleuviote toujours un peu. On se dirige vers un premier resto de nouilles chinoises. Il est déjà 14h30 et les deux heures d'attente nous refroidissent un peu. On va donc dans le quartier chinois.



On choisit au pif un petit resto. Les serveurs ne sont pas spécialement souriant, et le gars passe cinq minutes à m'expliquer que je n'aimerais pas le plat que je commande car ce ne sont pas des nouilles. Je le prend anyway, et même que j'aime ça!
En sortant, Fon paye, mais se fait rattraper en courrant dans la rue par le serveur : on a oublier le pourboire. Il la fait payer 15% sans lui laisser le choix... bref, heureusement que la nourriture était bonne! 


Comme ça s'éclaircit un peu et que le ferry est abrité, on se décide pour aller voir la statut de la liberté. Elle est plus petite que dans mes souvenirs et dans les films. Les photos sont un peu en gris sur gris, mais la croisière à le mérite d'être sympatique. 



























































































































Au retour on fait un détour par wall street, puis le wall trade center, remplacer par quatre tours en construction. Accompagner de plein de grues, dont une à trois coup, Maëlle, j'espère que tu apprécie la photo!





Fon commence à avoir mal aux pattes et on abandonne l'idée d'aller du coté de greenwich village. a la place on s'offre une bonne part de gateau dans un café qui apparait dans le film "You've got mail", "Vous avez un message (encore du Tom Hanks!) 
































Journée bien remplie, bien fatigués. Le lundi matin (4juillet, férier donc) on met un peu de temps à décoller. On s'en va sur Brooklin bridge, que l'on traverse avec la flopée de touriste. Arrêt photo toutes les trentes secondes. 
















Une fois arrivée dans Brooklin, il nous faut trouver notre métro pour attraper l'avion. On se trompe de train, puis arrive enfin au train menant à l'aéroport. Une fois arrivée au bon terminal, il nous reste 30 minutes avant que l'avion ne décolle. Sur le carton que nous tend l'hotesse (désespérée par notre manque de bon sens), l'heure d'embarquement est la même que celle qu'indique l'horloge au dessus de nous. On arrive à squeezer la queue pour passer la sécuriter, passe le portique sans trop de difficulter, puis cours cours cours dans JFK. Mais l'aéroport est immenser, et j'espère être arrivée à chaque virage. Lorsque j'arrive enfin aux portes d'embarquement, je vois dramatiquement le numéro 49 devant moi, je dois aller à la porte 31... Une fois là bas, je me rend compte que j'ai bien pris 2 minutes sur Fon. Je supplis à l'hotesse de prendre son nom pour être sur qu'elle soit attendue, il continue à me dire que je dois y aller tout de suite. Finalement elle arrive, et on se dirige enfin vers l'avion... Pour y attendre une heure avant le décollage. On explose de rire à interval régulier en repensant à notre aventure, au moins on l'a eu notre avion! 

samedi 9 juillet 2011

Zion parc

la route est monotone, mais on s'enfonce enfin dans le canyon. Les paysages sont toujours aussi grandioses. Nous traversons le parc jusqu'au centre d'information qui se trouve au niveau de l'entrée Est. On a apparement eu une bonne idée de rentrer par l'ouest, la file de voitures qui vient de Las vegas est interminable. Le centre touristique est plein à craquer, ainsi que le camping du parc qui était notre première idée. On se trouve quand même un hotel pas extrémement chér, avec une promo de 10% sur la chambre double, parcequ'on est Français.

Le but est de trouver les points les plus jolis du parc. On opte pour une balade accéssible aux handicapés le long de la rivière. La stratégie étant, ils ont du faire les accès handicapés aux plus beaux endroit. la balade n'est pas exeptionelle, mais à son charme. Pour le couché de soleil, on crapahute sur un petit sentier montagnar qu'on pert bien vite et on se retrouve à improviser plus ou moins guider par les traces des biches.


Un centre touristique à l'oré d'un parc donne l'avantage d'avoir les hotels et autres resto tout près, et cette fois on pense à se bouger avant 10:00pm. Le subway du midi nous à bien tenus, et on se contente d'une petit glace bien crémeuse. Dans un des jardins de la petite ville, deux abricotiers offrent abondamment leurs fruits, au point que la propriétaire à mit un petit panneau "help your self" accompagné de plusieurs sacs en plastiques et boites en cartons.

Depart pour une balade avec au nom prometeur de "emerald pool. Effectivement, la balade est très chouette. On est pas les seuls à avoir flairer le bon coin, et le sentier et bondé. Mes chaussures font grand effet, et je me fait arrêter régulièrement pour témoigner de la qualité des Five fingers de Vibram. Une autre balade handicapé pour compléter la matinée, et cette fois c'est vraiment le plus bel endroit du parc. Au detail près que pour atteindre l'étroit canyon il faut randonner dans la rivière. Hélas, le niveau d'eau est encore trop eau pour tenter la chose. Quelques courageux se sont lancés, mais ils ont de l'eau jusqu'à  la taille.





La chaleur du Desert du Nevada nous écrase, et on se trouve un coin d'ombre pour picniquer. On part quand même pour une randonné qu'on abandonne au trois quart. Je prend quand même le temps de faire un petit plongeont dans la rivière avant de reprendre la voiture.









Le plan initial était de rester deux nuit à Zion parc, mais on a trouver un énorme lac à deux pas de las vegas, avec des campings a $10. On trouve un Wallmart (le premier depuis salt Lake) et peut enfin s'acheter un matela gonfable à un prix raisonnable.












Le desert s'étend, infini, et on regarde les degrès Fahrenheit monter jusqu'à  110. Le vent souffle, il est chaud. Le premier endroit où l'on s'arrète est completement vide. On va jusqu'au port, en espérant y trouver un échope ouverte. bien sur c'est fermé. le pontont flotte au grès des douces vagues. On décide de continuer la route jusqu'à la prochaine base. Là, c'est pareil, mais faut bien qu'on s'arrête. On glisse un chèque de $10 dans la petite enveloppe et se dirige vers notre emplacement.









Une petite colline nous séparent du lac, et c'est bien sur l'endroit idéal pour admirer le couché de soleil.














Il s'avère qu'il fait dix fois plus chaud dans la voiture que dehors. Alban ouvre la portière pour faire rentrer de l'air frais. ça déclenche surtout l'alarme de la voiture et à pour effet de me réveiller en surçaut, me faisant taper sur tous les boutons du tableaux a part le bon. On se réveille avec le soleil, et on découvre une nouvelle vie animée pour le petit port. Mais on doit y aller, Las végas nous attend!

mardi 5 juillet 2011

Bryce Canyon

Sous les conseils du guide du routard, nous ne prennons pas la route la plus efficace pour ralier Capitol Reef et Bryce Canyon, mais surement la plus jolie. On se retrouve dans une petite montagne de connifère, qui nous change du tout plas et nous fait penser à la suisse et à la Bulgarie.

Cette fois, on dit camping, et on en trouve même un qui loue des tipi pour le même prix qu'un espace camping! Le petit détail étant, il n'y a trisctement rien dans le tipi, et l'on n'ose pas demander la moëllosité du sol sans matela. Bien sur tout le reste est pris, et le coin est hypra touristique. Demi tour toute, et on se trouve un petit hotel, qui ne paye pas de mine, mais est correct, comme dit le guide du routard.


Une fois la chambre réservée on se redirige vers le parc pour faire une vrai balade d'aprés-midi avant de trouver un endroit pour le couché de soleil. On suit le touriste en arpentant "La plus belle balade de trois miles du monde". C'est vrai que ça vaut le coup d'oeil!
































On arrive à l'endroit que les gens d'écrive comme "le poster dans la boutique de souvenir" et forcément tout le monde prend des photos. On croise juste avant d'ammorcer la cote un couple de jeune Français. On se double et redouble au grès des accélérations et des prises de photos. Finalement, on leur propose de les prendre en photo et ils nous rendent la pareil. la discussion continue sur la fin de la balade, et c'est partie pour aller se prendre un petite bierre en admirant le couché de soleil.








A 9:30pm, on décolle enfin, mais ils n'ont toujours pas d'hotel: On leur propose de tenter le notre dans lequel il semblait rester une chambre. Et effectivement, après avoir fait sortit l'hotelier de sa maison à quelques miles de là, ils peuvent enfin se rassurer d'avoir un toit pour dormir. Plan suivant, se trouver un resto. Problème : nous sommes aux Etats Unis, il est 9:40pm, autrement dit tout est fermé. Picnic improvisé sur le parking de l'hotel, et on s'écroule se coucher à minuit, tout fatigué par la voiture, les randos et la chaleur qu'on est.














































On prévoit quand même une grande rando pour le lendemain dans des paysages qui se prométent tout aussi magnifique. Sur le chemin, un petit monsieur nous arrête pour un sondage. Ils nous colle un GPS sur le dos, et on repart.

A la fin de la balade, on rend notre GPS, et répond finalement aux questions du sondage, qui à apriori pour but d'étudier la faisabilité de tours en avion au dessus de Canyon. Juste pour vérifier si ça emmerderais pas trop les randonneurs (avec enregistrement de bruit d'avion à l'appuie).


Pour compenser la promesse échouée de resto de la veille (j'ai bêtement oubié de souhaiter la St Alban) on décide de s'en trouver le midi. fasse à l'invasion touristique, on fini par se faire un subway, qui est très bon cependant. La route est plate jusqu'à Zion Parc, et malgrès le pacte, je m'endors. Notre prochaine destination s'annonce charmante mais pas moins touristique!