c'est la fin du harical!

ha non! c'est la fin du melon!

Voila, essais finis, stage fini, appart de Thouars (presque) vidé, données analysées, rapport (pas encore du tout) terminé.

stage effectué : 1 sur 4

bilan : plus que super positif

un boulot qui me passionne. Même si il ne s'agit que de la prise de donner c'est pour de la

sélection, donc c'est bien!

des gens géniaux (supérieurs et co-stagiaires)

un bronzage agricole parfait (peaufiné sur les plages de Montpellier)

le deuxième stage se prépare déjà entre les rédactions de rapport, demande de visa et recherche de stage.

Césure, césure, je suis en plein dedans!

temps de transumence

pas trop de nouvel depuis un petit temps.

les essais de Montpellier sont terminés. Après un petit tour au siège de syngenta, je remonte dans mes chers deux sèvres profondes finir mon stage.

Thouars, son centre ville accueillant et dynamique, ses plages bondées de touristes (ah non, c'est pas ça?) et bien sur ces champs de melons rouge gorge et soldive.

les miens sont chez rouge gorges.

on peut énumérer quelques différences entre un champs de melon sudiste et deux-sévriote :

1. Dans le sud les ramasseurs de melons sont des magrhébins ou équatoriens gérés par des agences qui envoi de la main d'oeuvre à moindre frais dans tout l'europe. A thouars, ce sont de braves étudiants voulant se faire un peu d'argent et se plaignant pas mal des conditions de travail.
2. Dans le sud, la terre est argileuse, et très amoureuse quand il pleut. On se traine dix kilo de boue à chaque chaussure. A Thouars, c'est plein de cailloux, c'est très fatiguant de marcher la dedans, mais au moins on trouve de jolis fossiles.
3. Dans le sud, on utilise un bâton pour débusquer le melon malin caché dans le feuillage. A Thouars on se flingue bêtement le dos en mettant les mains jusqu'aux coudes dans les feuilles qui grattes (sauf moi qui ai gardé mon bâton!)
4. Dans le sud, je travail avec Camille Laurie et Léa, à Thouars c'est avec Marie et ça c'est tout aussi bien l'un que l'autre!