mardi 5 juillet 2011

Capitol reef


Notre chemin continue dans le desert rouge et caillouteux. A quelques miles de là un canyon s'étant, nous offrant encores quelques arches.


je suis bien curieuse de savoir à quoi correspondent toute ces strates. Au retour de notre balade, un ranger à investit le point de vue, et nous improvise un petit cours de géol, cartes et photos à l'appuies.


Les formes rouges nous accompagnent tout le long de la route, et finalement, la verdure nait et change le paysage. Nous voila à Capitol reef et son oasis. La taille du coffre de la voiture et le manque de matella ont eu raison du coté aventureux d'Alban, et on se trouve un petit hotel à la sortie du parc. On va faire un petit tour en ville, au cas où il vendrait de mattelas. Finalement, "Ville" n'était pas spécialement le mot à utiliser, mais le petit hammeau a son charme, et de grand arbres dispersent leur blanc pollen, comme une neige éternelle sous la chaleure d'été.


Notre objectif quotidien est de trouvé en point stratégique et bien positionné pour admirer le couché de soleil. Ici, nous ne tergiversons pas longtemps, et partons pour la randonnée nomée sunset point. Assez rapidement, on rencontre un désagrément mineur. Le lieux est envahit de bêbêtes qui nous tournent sans cesse dans la tronche. Et puis c'est qu'elles piques ces salloperies! oh, non, elles ne piquent pas, elles t'arrachent juste un petit bout de peau. J'ai retrouvé mes amis les alambics, rencontré l'an dernier dans mes champs de melon.


On arrive plus ou moins à profiter du couché de soleil en y restant une heure. On se moque des autres touristes qui font des grands gestes désorganisés pour essayer de lutter contre la bête microscopique. Mais nous ne sommes pas mieux!












La nuit sur des vrai matelat est plutot confortable et on part en pleine forme pour une boucle au dessus de la rivière, non sans passer par la case "achat d'anti-bêbête". On ne prend pas la plus grande, mais en fait deux différentes.


On est un peu déçus par la végétation dense qui nous séparent de la rivière, mais cela devient tout de suite plus joli lorsque l'on prend de la hauteur. On ne sais pas trop si il y a juste moins de bête la journée ou si le produit est miraculeux, mais en tout cas on n'est pas embêtés. Un pic nic à l'ombre, changement d'un T-shirt plein de mayo, et on repart.

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